Skip to main content

Fabrice Caro, Les deniers jours de l’apesanteur, édition Gallimard, collection Sygne, 2025, 217 pages

Dans ce roman, Daniel, le narrateur est en classe de terminale. Autour de lui, les élèves ont des prénoms et des noms choisis pour leur banalité passe-partout, et déjà ça, il fallait y penser et c’est marrant. Ensuite, les références aux années 80 pullulent et l’ambiance d’une famille banale est bien dans le thème. Les histoires de filles, de mobylette, de fêtes auxquelles on est invité… ou pas.

Daniel est embauché comme prof de maths auprès d’une jeune fille qui ne sait dire que « oui-oui ». Je n’en dis pas plus, le livre est drôle, plein de clins d’oeil à du déjà vécu. Mais il y a des petites longueurs.

Il me fait penser à Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan de Roland Perez, ou encore à Disco queen de Stéphanie Janicot. C’est dans l’air du temps, quoi. Mais rien de très original.

Et pourquoi ce titre ? A vous de me le dire en commentaire !

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.