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Agnès Desarthe, Le château des Rentiers, Editions de l’Olivier, 2023, 215 pages.

J’ai commencé à entrer dans l’œuvre de Agnès Desarthe (la fille du pédiatre Aldo Naouri) par le livre Le Principe de Frédelle, dont je me souviens car dans les années 2000, je l’ai beaucoup utilisé pour des ateliers d’écriture.

Deuxième rencontre, Un secret sans importance, un univers, un phrasé, je suis de nouveau conquise. Je lis en 2006 Mangez-moi et enfin, pendant les vacances de noël 2023, Le château des rentiers. Mais je suis un peu déçue. Le mot phalanstère est répété des milliers de fois et l’histoire est brouillonne, sans fil conducteur, dans laquelle l’auteur se mêle à l’histoire de ses parent et grands-parents, à ses souvenirs et à l’idée de créer une vie en communauté. Un peu fourre-tout… Je suis restée sur ma faim.

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